Alliance réclame des effectifs à la frontière
Selon le syndicat de police, l’arrivée des contrôles biométriques à la frontière et l’alourdissement des contrôles ne peuvent se faire à effectif constant.
Le syndicat dénonce la baisse du nombre d’agents, 51 en moins en un an et réclame pour le mois de septembre le retour de ces effectifs. Pourquoi au mois de septembre? La réponse en compagnie de Guillaume Sarrazin, délégué Alliance Police Nationale pour la Police Aux Frontières.
Les contrôles deviennent plus lourds et plus longs au port et au Tunnel et nécessitent des renforts. Guillaume Sarrazin, délégué Alliance Police Nationale pour la Police Aux Frontières.
Le syndicat réclame pour le mois de septembre le retour de 51 agents + 125 agents sur 4 sites différents pour assurer le contrôle Transmanche dans de bonnes conditions. Guillaume Sarrazin, délégué Alliance Police Nationale pour la Police Aux Frontières.
Si les effectifs supplémentaires ne sont pas obtenus, le syndicat Alliance craint un retour à 2015 (envahissement de la rocade portuaire, montée dans les camions...). Guillaume Sarrazin, délégué du syndicat pour la Police Aux Frontières.
Des propos recueillis au micro RADIO 6 de Priscilla Vandeville. Le syndicat Alliance demande aussi une diminution de la capacité du Centre de Rétention Administrative (CRA) de Coquelles. 104 personnes y sont retenues en moyenne. Alliance demande à passer à 74 pour atteindre un ratio d’1,4 fonctionnaire pour surveiller une personne retenue pour une meilleure qualité de surveillance.