Fin de vie : briser le tabou des directives anticipées
Sa propre mort est souvent un sujet tabou et pourtant il est important de faire part de ses souhaits pour sa fin de vie en écrivant ses directives anticipées.
Et c'est le message qu'ont passé les membres du service de soins palliatifs du CHAM ce mercredi après-midi lors d'une action de sensibilisation et d'information.
Rose-Marie Dedeire-Gambier, médecin chef de service des soins palliatifs au CHAM
D'autant qu'il n'y a pas de procédure spécifique pour rédiger ces directives
Toute personne majeure peut rédiger ses directives anticipées sur papier libre, daté et signé, elles auront une valeur illimitée. Des modèles sont disponibles sur le site service-public.fr